Zafar et Firas partagent la même cellule. À force de vivre côte à côte, un vrai lien s’est créé. Un après-midi, la tension monte d’un cran : regards qui s’accrochent, souffle court, envie assumée. Les deux mecs décident d’arrêter de tourner autour du pot et passent à l’action.
Le jeune Zafar se détend, sûr de son charme. Firas, barbu et tatoué, prend les devants avec une assurance qui en dit long. Le contact devient vite électrique : gestes précis, rythme qui s’installe, virilité qui s’affirme. Zafar se laisse guider, puis renverse la vapeur à son tour, prouvant qu’il sait aussi mener le jeu.
Deux corps secs et dessinés, juste ce qu’il faut de pilosité, des torses qui collent sous la chaleur, et des regards qui ne lâchent jamais.
La suite est plus intense : les rôles s’échangent, les positions se répondent, la complicité devient évidente. Mains fermes, hanches tenues, dos cambré — tout respire l’instinct et la maîtrise. Sans un mot de trop, ils trouvent le bon tempo : brut, masculin, maîtrisé.
Au final, les deux gaillards s’écroulent l’un contre l’autre, rincés, le sourire aux lèvres. Une parenthèse moite entre quatre murs, marquée par la sueur et le respect. Nul doute qu’ils remettront ça très vite.
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