Il pompe un mec à l’arrière d’un fourgon

Caillera XXL fait son business dans la cité. Quand un client est à court, il peut parfois s’arranger — si tout le monde est d’accord. Cette nuit-là, à 3 h du mat, Olivier n’a pas assez pour sa beuh. Ils négocient, posent les règles, et tombent d’accord sur un deal “en liquide”… consenti des deux côtés.

À l’arrière du fourgon d’Olivier, garé au milieu des tours, Caillera XXL se cale, jambes écartées, le regard qui en dit long. Le Marocain est déjà bien chaud après une journée rude, prêt à se laisser servir par un pompeur motivé. L’ambiance est étroite, humide, électrique : parfait pour un plan express.

Olivier s’applique : gestes précis, rythme sûr, attentif aux réactions du lascar. Quand ça ralentit, Caillera le recadre d’un léger signe — un jeu de domination assumé, sans un mot de trop. Boosté par l’idée de régler sa dette (et de décrocher une récompense), il intensifie sa technique et fait monter la pression chez le rebeu domi.

Comme un pacha, Caillera XXL se laisse chouchouter assis, puis se met debout pour mieux mener la danse. Quand la montée devient trop forte, il prend le relais, finit en cadence et offre au suceur un finish au visage, bien marqué. Olivier en garde le goût du deal bien mené — mission accomplie pour les deux.

Après cette suce express et un final appuyé, les hommes sont quittes. Poignées de main, sourire en coin, chacun repart satisfait.