Le soleil tape sur Lyon et l’air sent l’aventure. Mathieu retrouve Cocksucker, le jeune lascar arabe gay, dans un spot que les initiés connaissent bien : le parking de la cité. Ici, chaque regard pèse, chaque sourire invite, chaque geste parle — un terrain de jeu discret, chargé de tension.
Mathieu s’avance, se détend, laisse entrevoir son calibre, puis glisse d’une voix basse : « Tu t’en occupes ? » Le message est clair, consenti. Le jeune lascar, déjà pris par le frisson du lieu, se met à genoux et s’applique. Il prend son temps, savourant chaque millimètre, rythmes lents puis plus appuyés, regard ancré dans celui de Mathieu. Le risque d’être surpris ajoute une couche d’adrénaline qui fait vibrer la scène.
Mathieu adore ce genre de bogoss — posé, concentré, qui sait pomper propre et fort sans jamais lâcher le contact. Les néons bourdonnent, les carrosseries renvoient des éclats, et l’écho des respirations remplit l’espace. Ici, c’est brut et net : deux mecs, un spot, un moment suspendu.
Quand la pression atteint son pic, la délivrance vient naturellement. Pour le récompenser, Mathieu se libère sur lui, dans un souffle grave qui claque comme un point final. Le lascar accueille, sourire en coin, encore traversé de frissons.
Rencontre en plein jour, entre risque maîtrisé et kiff assumé : spontanéité, imprévisibilité, tension virile — tout ce qui fait la beauté de ces parenthèses furtives.
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