Dans un parking souterrain, l’air est lourd, moite, presque électrique. Les néons vacillent, jetant des reflets sur les carrosseries poussiéreuses. L’ambiance est chargée, presque suffocante. C’est ici que Cocksucker, un jeune marocain aux traits fins et au regard plein d’envie, a donné rendez-vous à Yanis, un renoi croisé plus tôt dans la journée.
Yanis, vrai gars des cités, dégage une virilité brute. Sa carrure large, sa barbe parfaitement taillée, son regard sûr de lui : tout respire la puissance. Son survêt moulant laisse deviner la force de son corps, et un détail en particulier capte toute l’attention de Cocksucker. Le rebeu ne cache pas son trouble : le désir monte, palpable, brûlant.
Yanis s’avance, sûr de lui, dominant. Cocksucker, le souffle court, s’agenouille lentement, comme guidé par l’instinct. Leurs regards se croisent un instant — celui du renoi est profond, autoritaire. Ses doigts se glissent dans les cheveux du jeune rebeu, dirigeant chacun de ses gestes avec assurance. L’air s’emplit de tension et de soupirs étouffés. Le parking devient un monde à part, coupé du reste, rythmé par la respiration des deux mecs.
La scène est intense, chargée d’une énergie presque animale. Yanis garde le contrôle, imposant son rythme. Cocksucker suit, docile et passionné, le visage rougi par l’effort et l’excitation. La sueur perle sur ses tempes, la salive brille sur son menton. Rien d’obscène ici, juste la vérité brute d’un moment où deux corps s’abandonnent à leurs instincts.
Les bruits se mêlent — souffles, gémissements, froissements de vêtements. Yanis ferme les yeux, haletant, et laisse échapper un grondement de plaisir. Cocksucker reste immobile un instant, le visage tourné vers lui, le regard chargé de fierté et de désir. Le silence retombe, lourd, moite, comme si le parking avait gardé la trace de cette rencontre brûlante entre deux mecs en sueur.
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