Sofian, c’est le gars que tu croises au vestiaire et tu rates ta série direct tellement son regard t’as perturbé !
Boucles brunes, regard noir qui te scotche, bouche pulpeuse, et surtout un corps qui parle sans forcer. Torse massif, épaules pleines, pectoraux bien lourds qui rebondissent quand il respire. Il se prend en selfie souvent d’en haut, à la “tiens, mate bien”, et l’angle t’envoie tout : la gueule, les bons pects, puis la ligne qui descend en V jusqu’au buisson bien noir. Il a une manière de regarder la caméra qui te parle dans l’oreille. Pas de grands discours : un sourcil qui se lève, la lèvre qui brille, et tu comprends le message.
En t-shirt moulant, c’est la boucherie. Le tissu colle au torse, les tétons pointent, on devine la masse et ça donne envie de glisser la main dessous. Quand il se met torse nu, c’est encore plus violent : peau dorée, veinules qui sortent sur les biceps, abdos carrés mais pas secs-morts, juste ce qu’il faut pour dessiner. Et puis le paquet… frère, le paquet.
Sa bite est épaisse, lourde, bien pendue, avec le prépuce qui glisse tranquille sur le gland quand il se chauffe. Les couilles sont pleines, ça se voit à la façon dont il se tape des queues. Tu sens que le gars s’entraîne, qu’il mange, qu’il dort, et qu’il s’occupe de son engin comme il faut.
Chez lui, la branlette c’est un sport. Il commence posé, main bien huilée, gestes lents pour faire monter la pression. Il aime serrer juste sous le gland, tirer le prépuce, puis descendre jusqu’à la base comme s’il voulait compter les veines. De temps en temps, il lâche la queue, claque les pecs, se passe la paume sur le ventre, te fait un sourire de voyou et reprend plus sale. On entend son souffle, ce petit grognement dans la gorge quand ça monte, et on sait que ça va partir — pas en pschitt timide, non, en grosse giclée crémeuse qui nappe les abdos, coule dans le bush et parfois remonte sur le téton. Il étale du bout des doigts, regarde l’objectif bien en face, genre “tiens, c’était pour toi”.















Je kiffe ses photos et vidéos “chez lui”, posés à l’arrache. Tu vois les flacons, la lingette, le bord de la baignoire, rien n’est rangé nickel et c’est ça qui excite. Il se place au-dessus, coupe la tête au niveau des yeux pour mieux te servir la masse, puis il descend le cadre et c’est jackpot : torse, abdos, buisson, et la queue qui se met à vivre toute seule. Parfois il cale l’élastique du caleçon sous les couilles, histoire de faire respirer. Parfois il est totalement à poil, chaussette sur un pied, et il te regarde comme si t’étais déjà à genoux entre ses cuisses.
Coté love, ce célibataire endurci kiffe les plan culs, et les daddies, surtout quand ils sucent bien.
En vrai, Sofian c’est le mec du bled posé en Allemagne qui a gardé la chaleur et la manière de se tenir droit. Il dégage une gentillesse tranquille mais dès qu’il pose la main sur sa queue, c’est fini, ça parle vrai. Il n’a pas besoin d’accessoires : un miroir, un peu de lumière, sa peau et son envie. Et quand il jouit, c’est généreux. Plusieurs jets, épais, blancs, la respiration qui casse, les abdos qui se contractent, puis ce petit sourire satisfait .

 
             
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
  
 



 
		                 
		                 
		                 
		                 
		                 
		                 
		                 
		                 
		                 
		                 
		                 
		                 
		                 
		                
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