Je suis discret sur ma vie privée, mais ce soir-là, au retour du car vers 18h, je croise Mohamed. On papote de tout, on chambre un peu sur la muscu et les bastons d’antan — il a le profil d’athlète, ça se voit. Le feeling passe, simple et naturel.
On se chauffe en rigolant, pari à la clé : une petite séance de lutte amicale pour voir qui garde le dessus. Rien de méchant, juste un jeu entre mecs. Chacun rentre, puis à 21h, Momo m’appelle : « Passe à la maison si t’es chaud. »
J’arrive, on pose les règles — tranquille, consentement total, capotes & gel sur la table. Il a le flow lascar : survêt, maillot, détente, sourire en coin. On s’installe, on se taquine, et le moment bascule en flirt assumé. Je lui demande s’il est ok, il hoche la tête. On commence soft : mains qui se cherchent, respiration qui s’aligne, regards ancrés.
Momo est large d’épaules, calme, sûr de lui. Il aime mener la danse avec une fermeté tranquille ; moi, je suis réceptif, à l’écoute. Je m’occupe de lui avec application, il répond par de petits souffles qui en disent long. Le tempo monte — jamais de précipitation, juste le bon rythme.
On change de position, on ajuste l’angle, on se parle bas pour garder le contrôle et le confort. Capote en place, gel posé, Momo guide, je me cambre, tout coule. C’est viril, moite, propre — exactement le genre de moment que j’aime : discret, efficace, respectueux.
Après une bonne montée, on conclut dans une finale brûlante. On reste étendus un instant, à reprendre notre souffle, le cœur tambourinant. Je souris, lui aussi. On se rhabille, poignée de main franche, regard complice.
Depuis, on se capte de temps en temps. Rien de compliqué : deux mecs, de la confiance, du kiff — version Citebeur, sans chichi.
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