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Cruising dans les bois avec un lascars curieux

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Nathan, power bottom

Fin de journée, lumière douce entre les arbres : le spot de cruising prend des airs dorés. Nathan Madness, power bottom assumé, marche tranquille, l’œil vif. Il a cette chaleur qui grimpe et l’envie claire d’un mec viril capable d’envoyer. Le décor est posé : silence, souffle court, tension qui monte.

Au détour du chemin, il tombe sur Mathieu de Lyon, barbu carré, regard clair qui défie. Le gars a la vibe du mec qui tient la distance — épaules larges, présence de bûcheron, et le calme de ceux qui savent mener. Un actif d’endurance, taillé pour les passifs gourmands : combinaison parfaite.

Alchimie de forêt : le bon duo

Le face-à-face fonctionne tout de suite. Nathan s’aligne, obéissant, appliqué. Il sert propre, fait monter la pression, s’attarde sur le bout pour lire les réactions, puis reprend plus profond, respiration calée. Son objectif est clair : décrocher la récompense d’un final généreux, et il s’y prend avec méthode.

L’air est chargé, la peau chauffe. Les gestes deviennent plus sûrs : mains qui serrent, dos qui se cambre, baisers courts, caresses appuyées. Mathieu prend la place derrière, rythme posé, puis plus soutenu. Nathan encaisse, demande plus — regard accroché, nuque tendue, attitude docile et fière. La forêt garde le secret, témoin silencieux d’une session tenue, virile et consentie.

La cadence grimpe, redescend, repart. Odeur de sueur, frottements de textile, souffle qui cogne : tout claque juste. Quand la nuit tombe, ils bouclent la boucle — relâchement net, muscles encore chauds, sourires complice. Nathan a trouvé ce qu’il cherchait : le calibre de Mathieu, la vibe brute, et une nuit gravée dans la tête.

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