Dans sa chambre d’hôtel, Eric scroll sur son portable quand il sent une présence derrière lui : un mec en costume-cravate, propre, posé, regard de patron. C’est le vigil de l’hôtel, un beau mâle arabe croisé plusieurs fois dans le couloir. Il l’a remarqué ces derniers jours, visiblement curieux. Eric capte le signal et laisse la porte se refermer : pas besoin de paroles, l’envie est déjà là.
La nuit est calme, le timing parfait. Le vigil se détend, défait sa veste, desserre la cravate, s’installe face à Eric avec une assurance tranquille. Le regard dit tout. Eric s’agenouille, s’applique, chauffe le gars avec méthode, langue et lèvres en mode service propre. L’ambiance devient lourde, leurs souffles s’accordent, le ton est donné.
Le rebeu sort ce qu’il faut de son costard et prend le lead. Eric se tourne, puis se place, prêt à se faire démonter comme il aime. D’abord face à face — histoire de lire chaque expression de plaisir — puis en doggy, à quatre pattes, cambré, pour offrir l’angle parfait. Le vigil mène le jeu, rythme maître, prises fermes, voix grave qui cale la cadence. C’est brut, net, sans cinéma.
Au fil des minutes, la chaleur monte, les reins claquent, la pièce résonne de râles étouffés. Eric encaisse avec gourmandise, totalement dedans. Quand tout explose, le vigil conclut à sa manière, se rhabille avec un dernier regard satisfait et file aussi discret qu’il est venu. Eric reste là, peau en sueur, sourire en coin : session carrée, virile, exactement comme il les aime.
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