Le jour où Kad, le daddy arabe, lui cale un rendez-vous, Nathan ne réfléchit pas : il fonce. Dans un coin discret, à genoux devant ce bonhomme viril, sourire en coin et regard qui brille, tu vois direct que le gars est aux anges. L’ambiance est brute, le souffle court, la tension monte.
Kad s’impose, présence lourde et attitude de boss. Nathan l’a fantasmé mille fois ; là, il peut enfin le servir pour de vrai, lentement, avec respect, en laissant parler l’instinct. Chaque geste est précis, chaque reprise de souffle lui file des frissons. La vibe est masculine, moite, le genre de moment où tout le reste disparaît.
Mais Kad n’est pas du style à rester passif : il mène, pose des consignes sèches, fait monter la pression et garde le contrôle. Nathan suit, concentré, endurant — le genre de mec qui encaisse sans faiblir et en redemande. Sa gueule plaît trop aux gars du quartier : regard franc, mâchoire serrée, attitude docile quand il faut. Les anciens disent qu’il a “le profil”, et ça se voit : il sait tenir son rôle, faire le taf proprement, et laisser sa trace dans les têtes.
Finalement, tout s’aligne : corps tendus, sueur qui perle, échanges courts, regards qui parlent. Kad ressort posé, vidé de la tête, Nathan, lui, repart rincé mais fier — mission accomplie, style citebeur, chaud et net.
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