Un soir, je me pose sur BeurOnline… et là, coup de bol : un super rebeu d’Orléans, bi, au pseudo qui annonce la couleur — Arabttbmactifdomi45. Pile mon style, surtout que dans le 41/45, les vrais actifs bien virils ne courent pas les rues.
Mon blaze : Jnegourmandsoumisàblackbeur. Je suis Stéphane, 38 ans, passif assumé du 41. On discute, on s’envoie deux-trois infos, quelques photos, on s’échange les numéros… et il débarque chez moi — discret, parce qu’il ne peut pas recevoir.
Trente minutes plus tard, ça sonne. En vrai, il est encore plus beau qu’en photo : survêt blanc, TN rouges, maillot de l’OM — pur look de lascar. Je propose un verre, il préfère passer aux choses sérieuses. Capotes, gel, tout est prêt. Il veut que je m’occupe de lui.
Je m’approche, je respire son odeur de mec, je découvre un calibre qui impose le respect. J’y vais posé, appliqué, avec ce rythme qui fait monter la pression sans jamais brusquer. Il ferme les yeux, mord la lèvre, laisse échapper un souffle — je sais que je suis dans le vrai.
Très vite, on trouve notre tempo. Il me guide, je me place, on garde tout propre et carré. Les gestes s’enchaînent : hanches tenues, dos cambré, regards ancrés. La pièce se remplit de chaleur et de souffle court. Je prends confiance, lui aussi.
Il me demande de lever les jambes, attrape mes chevilles d’une main pour ajuster l’angle. Le contact devient plus intense, plus profond, sans jamais perdre le contrôle. Je sens la montée, je lui demande encore, et il donne — régulier, puissant, viril.
Il me remet en position, prêt à conclure. Le final arrive, chaud, net, au millimètre. On reste un moment à reprendre notre souffle, le temps que les battements redescendent. Je suis rincé, heureux, un peu sonné — la trace d’un plan mené comme j’aime : respect, discrétion, efficacité.
Depuis, on se revoit régulièrement. Un vrai délire de quartier : simple, brut, viril — made in Citebeur.








Ajouter un comm'