Vidéo inspirée du récit de Maxence.
Maxence, 24 ans, brun aux yeux bleus, vit alors en foyer de jeunes travailleurs. Depuis des mois, il traîne souvent avec Abdel, un rebeu du même âge, super stylé. Même délire, même humour : ils passent leurs soirées à discuter de tout et de rien.
Un soir, au calme, Maxence confie qu’il est bi. Abdel l’écoute sans juger et lui répond que ça reste entre eux. Le lendemain, ils se recroisent. L’ambiance est différente : regards plus longs, sourires en coin. Ils parlent franchement, avouent leur curiosité mutuelle et posent des limites. Tout est clair : uniquement si chacun est d’accord, à son rythme.
Ils montent dans la chambre de Maxence. D’abord des échanges timides, un baiser, puis des mains qui se frôlent. Abdel a une vibe de mâle sûr de lui ; Maxence se détend et suit, en confiance. Domination douce et consentie : Abdel guide, Maxence acquiesce, les rôles se posent naturellement. Ils s’arrêtent quand il faut, reprennent quand les deux le veulent. La tension grimpe, l’air devient lourd — c’est simple et évident.
Abdel prend son temps, demande toujours si ça va. Maxence répond oui, se place, accepte les consignes et découvre une facette de lui-même qu’il gardait secrète. Beaucoup de regard, de respiration, de gestes précis. Rien de brutal : c’est carré, respecté, maîtrisé.
Après ce moment intense, ils éclatent de rire, soulagés. Deux potes, une confiance renforcée, un secret partagé. Ils conviennent de se revoir, sans pression, quand l’envie sera là. La suite ? Quelques rendez-vous, des scénarios de jeu de rôle, toujours avec le même mot d’ordre : consentement, limites, et plaisir partagé.
Une rencontre sincère, à la vibe Citebeur : urbaine, virile, nette — 100 % consentie.
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