Lascars domi dose la rondelle d’un passif

Voici Malik, jeune keum de la banlieue parisienne, belle gueule, regard ténébreux.

Sous ses airs posés, Malik se révèle très domi au lit. Il a son style : attitude sûre, gestes nets, présence de mâle. Pour lui faire face, il fallait un passif endurant et téméraire — et c’est Max Lava qui s’y colle, trentenaire assumé, tout prêt à encaisser la vibe virile du jeune beur algérien.

Max se place comme il faut, à genoux, appliqué, le regard ancré sur Malik installé en pacha. Il le sert longuement, prend son temps, fait monter la température. Soupirs, souffle court, jambes écartées : Malik se laisse honorer sans se presser, torse qui brille, nuque tendue, mâchoire serrée.

Puis vient le moment de retourner Max : Malik lui demande de se mettre en place, prépare le terrain, fait travailler l’ouverture avec soin. Quelques tapes légères pour chauffer la peau, un peu de lubrifiant, et il se positionne derrière. Il guide, entre doucement, laisse Max respirer, puis avance au rythme qui va bien. La tension cède la place au plaisir et, peu à peu, Max se détend, laisse le courant l’emporter.

À l’arrière, Malik déroule avec intensité : appuis solides, bassin précis, amplitude qui parle. Il aime sentir sa présence bien ancrée, alterne les angles, retourne son partenaire, jambes relevées, pour mieux trouver le point qui fait basculer. Le regard reste dur, les gestes restent propres — domination tranquille, maîtrise totale.

Final brûlant : corps plaqués, sueur au front, souffle lourd. Malik lâche tout au bon moment, net et sans détour, laissant Max étourdi et comblé. Une scène de banlieue comme on aime : virile, sensuelle, réaliste — tension, respect du tempo, plaisir brut.