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Niqué par un gros calibre dans sa cage d’escalier

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Oscar a faim de virilité et chauffe son voisin sur le palier. Andolini, lui aussi en manque, propose qu’ils s’isolent plus bas, dans la cage d’escalier. Deux regards, un accord rapide : discret, direct, chacun ok.

À l’abri des regards, Andolini se détend et laisse Oscar s’appliquer. Le pompeur affamé ne perd pas une seconde : prises fermes, rythme sûr, va-et-vient réguliers, une main qui guide, l’autre qui caresse. Il ne se lasse pas du calibre généreux et le fait bien savoir, souffle court et regard levé.

Quand la température grimpe, Andolini prend le lead. Il place Oscar au sol, sur une marche confortable, et s’aligne calmement. Le passif acquiesce, se cambre, et la cadence s’installe : appuis maîtrisés, corps à corps chaud, soupirs qui résonnent contre le béton.

Après une session soutenue, Oscar réclame sa récompense. Andolini termine en marquant le moment d’un finish au visage, net et assumé. Deux sourires, torses luisants, un clin d’œil : plan express, brut et complice — pur style Citebeur.

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