Salut, moi c’est Marc. Au moment des faits, j’avais 23 ans (aujourd’hui 25). Je me disais “bi”. Originaire des îles, 1m82 pour 76 kg, sportif, bien taillé, bref le profil qui aime mener le jeu quand l’alchimie est là.
Un jour, je traînais sur un chat gay. Un mec me parle : grand, costaud, passif assumé, fan de gros calibres. Je me dis : OK, c’est pour moi. On cale un rendez-vous. Dans le train, j’étais déjà en condition, sourire en coin.
À la gare, on se capte, on échange deux vannes et on cherche un coin discret. On s’arrête derrière quelques arbres, puis on passe à l’arrière de la voiture. Le gars m’embrasse sans attendre, chaud et décidé. En trois minutes, il me déboutonne et s’applique, façon pipe baveuse comme j’aime, le regard planté dans le mien. Ça dure un bon moment. Quand je préviens que ça monte, il chuchote :
« Vas-y, lâche tout. »
Je me libère, il apprécie sans en perdre une goutte. On se quitte contents, avec l’idée de remettre ça.
Le lendemain, il rappelle. Même point de rendez-vous. Comme il y a du passage, je propose qu’on aille chez lui. Une fois arrivés, on se met à l’aise direct. J’ai la tête à fond dans le moment, lui aussi. Pendant qu’il me bosse, je le chauffe, je prépare — tout en douceur — puis je mets une capote et je prends les commandes.
Je mène la danse longtemps, rythme régulier, appuis fermes, respiration courte, ambiance moite. Plus il gémit, plus je garde le tempo. Il me glisse :
« Continue… c’est exactement ça. »
Au bout d’un bon moment, je souffle, je me retire, et il redescend me finir, appliqué, jusqu’à la dernière goutte. On reste là un instant, rincés, le sourire facile, puis je file en lui promettant un round 3.
Franchement, deux sessions de dingue. L’alchimie, la sueur, le lâcher-prise — tout ce que j’aime. Et je l’avoue : j’ai un gros faible pour les rebeus bien chauds.
Ce récit a inspiré la vidéo.
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[…] Yanis est un vrai renoi des cités, avec une musculature imposante et une barbe bien taillée qui accentue son air viril. Son regard de braise et son sourire en coin font craquer tout le monde. Ce soir, il porte un survêtement qui épouse ses formes, laissant deviner la puissance de son corps. Mais ce n’est pas son corps musclé qui captive l’attention de Cocksucker, c’est plutôt la bosse imposante qui déforme son pantalon. Yanis est bien monté, avec une bite épaisse et veineuse qui fait baver d’excitation Cocksucker. […]