Je m’appelle Roman, 25 ans, 1m75 pour 65, brun, plutôt sec et dessiné, Boulogne-Billancourt. Comme beaucoup, je chatte pour trouver un plan du soir. Mon délire : des mecs virils, bien actifs, beur ou black, attitude de boss. Moi, je suis passif, j’assume.
Ce soir-là, après une heure de chat, un rebeu de 24 ans me capte. Il s’appelle Kamel. Message court, efficace : « Salut, ton tel ? » J’adore ce style direct — le genre de gars qui parle peu, qui agit. Je lui passe mon numéro ; dix minutes plus tard, il appelle. Voix grave, posée : « T’es où ? T’es passif ? » Je réponds calmement, pour qu’il capte que je suis réceptif : oui, je veux un plan cash, sans bla-bla, avec un mec qui se laisse servir à fond et qui me tienne en haleine.
Il lâche : « Tu me chauffes, j’arrive. Mets un film et attends-moi à genoux. » Ok. J’allume l’ambiance, lumière tamisée, un film en fond. J’aime ce côté rendez-vous cadré, codes clairs entre adultes.
Quarante minutes plus tard, il m’appelle. Je descends ouvrir, je remonte et me place à quatre pattes, salon calme, écran qui tourne. Il entre : rebeu mignon, look boxeur, short, claquettes, tee-shirt moulant. On se dit juste salut, on se jauge. Il s’approche, sort son calibre déjà bien motivé — épais, veines qui pointent. Je m’applique sans hésiter, bouche chaude, rythme régulier.
Il pose les mains, guide, s’installe comme un patron. Je le sers profond, je gère mon souffle ; il kiffe, regarde l’écran d’un air absent, tout en gardant un œil sur moi. Par moments, il me tient la nuque pour accentuer, puis me laisse reprendre. Ça devient un vrai jeu de tempo : je repars, salive qui brille, gorge ouverte, lui assis, torse tendu, mâchoire serrée.
Je continue en mode appliqué, il alterne consignes et silences. Quelques tapes sèches sur mes fesses pour chauffer la peau, et il me fait passer en douceur sur un rythme plus posé : « Là, doucement, tête sur le ventre. » Je m’exécute, je le goûte, je remonte, je redescends, je le fais tourner en rond, puis il reprend le contrôle et me fait avaler jusqu’à la base — je tiens, je gère, j’adore sentir qu’il s’abandonne.
Ensuite, il me dit : « File une capote, on passe derrière. » Je lui tends, il enfile, je me cambre. Il entre d’un coup sûr, je souffle, je m’aligne. Le tempo grimpe. Il me travaille propre, appuis solides, bassin qui envoie. Il me parle à l’oreille, voix grave ; je réponds, je demande plus. C’est brut, moite, maîtrisé, exactement la vibe que j’attendais.
Je reste à quatre pattes parce que c’est ce qu’il préfère. Il se retire, se replace, me cale la tête pour viser juste — final au-dessus, visage, torse, cheveux ; je reçois tout, je souris, rincé mais heureux. Il se rhabille vite, murmure « À la prochaine » et file, fidèle à son style.
Depuis, il me rappelle pour des plans cash, toujours consentis, toujours cadrés. On change les ambiances, on varie les scénarios, on monte doucement la température — salon, cuisine, couloir. C’est simple, masculin, urbain. Et moi, j’espère bien garder ce mec longtemps.
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