Deux jeunes keums se retrouvent dans une chambre pour passer du bon temps. Ils viennent de se matcher sur une app gay et optent pour un plan discret, loin des regards, histoire de se découvrir sans pression.
Dès que la porte claque, le p’tit céfran se déshabille, posé, sûr de lui. Le rebeu s’agenouille, prend l’affaire en main, chauffe doucement, joue du bout de la langue et fait monter la pression. L’ambiance devient moite, les regards s’accrochent, le désir parle à leur place.
Le blond, encore plus excité, pousse le Marocain sur le lit et l’embrasse longuement. À son tour, il s’occupe de lui avec application, rythme maîtrisé, gestes précis. Ils enchaînent en position soixante-neuf, chacun concentré sur le plaisir de l’autre, respirations courtes et corps collés.
Vient le moment de passer en mode actif : le Français prend d’abord le lead, le Maghrébin allongé sur le ventre, puis en doggy — mains fermes sur les hanches, tempo qui claque, contrôle total. Il savoure, le retourne, jambes relevées, pour un angle plus profond, sans jamais casser le rythme. La pièce résonne de soupirs graves, c’est brut, net, efficace.
Final en apothéose : les deux gars montent ensemble et lâchent tout sur le torse, regards au garde-à-vous, sourires en coin. Session courte mais intense, bien carrée — exactement ce qu’ils étaient venus chercher.
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