Un passif musclé en manque de vrai kiff tombe sur un lascar tunisien bien membré — la bonne rencontre au bon moment.
Malgré sa carrure, le passif a ce côté docile qui n’attend qu’à s’exprimer : dès que le calibre sort du survêt, il s’agenouille et s’en occupe avec appétit, sans hésiter. Le lascar se détend, pose ses mains, laisse monter la pression pendant que l’autre s’applique, précis et gourmand.
Le rebeu prend le lead, impose un rythme régulier ; le passif, lui, respire fort, se cambre, en redemande. Les corps chauffent vite, ça sent la sueur et la virilité, les gestes s’enchaînent sans un mot de trop. Le lascar intensifie ses mouvements, sûr de lui, pendant que le musclé s’abandonne, totalement dans le moment.
La cadence monte encore, les souffles se hachent, et le finish arrive net : le lascar se libère sur les fesses solides du mec viril, qui reste là, tremblant et satisfait, le regard encore brûlant. Un plan express, brut et complice — du vrai Citebeur.
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