Un actif passe en mode passif pour la première fois — et qui de mieux qu’un beau beur dominateur pour marquer le coup.
Il préfère rester discret, d’où la cagoule. Sa présence parle pour lui : épaules larges, allure de boss. Et quand il se met à l’aise, tu comprends vite que le calibre est sérieux. Habitué à servir en face, le futur passif prend son temps, le travaille longuement, comme pour repousser l’instant où tout va basculer.
Il s’ouvre à lui, doucement d’abord, puis plus franchement. Une fois bien en place, le beur déroule en rythme, appuis solides, bassin sûr. Les sons graves, les souffles et la sueur prennent toute la pièce. La tension glisse vers le plaisir, et le novice en passif se surprend à en redemander, yeux brillants, voix basse : plus fort, plus net.
Jusqu’au final : rôle tenu au millimètre, regard accroché, attitude docile et fière à la fois. Il assume son baptême en passif et réclame la marque qui scelle la scène — que son dominateur lâche tout sur son visage, propre, cash, viril.
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