Une racaille baise Seb comme une gourmand

Juan a l’allure d’un vrai lascar : regard dur, épaules larges, assurance tranquille. Il croise Seb, un gars du Sud au corps tatoué, et tout de suite le courant passe. Les deux se chauffent, posent les règles du jeu : domination assumée d’un côté, lâcher-prise de l’autre — le tout consenti, clair et net.

Dans la pièce, l’ambiance devient moite. Juan mène avec sa présence : gestes fermes, voix grave, directives précises. Seb adore ce cadre, il suit le rythme et se place comme demandé, fier d’être à la hauteur. Le jeu s’installe, brut et sensuel, entre regards appuyés et respirations lourdes.

Les rôles sont clairs : Juan guide, Seb répond. Le temps se dilate, la tension grimpe, les corps se frôlent et se cherchent. Chaque mouvement compte, chaque consigne est respectée. L’énergie est virile, chargée de sueur, de respect et d’adrénaline.

La cadence s’intensifie, maîtrisée de bout en bout. Seb encaisse, se cambre, revient, réclame presque. Juan garde le contrôle sans jamais dépasser les limites fixées. C’est un vrai face-à-face de mecs, entre puissance et confiance.

Quand tout retombe, ils restent un moment sans parler, torse nu, la peau collante de chaleur. Un sourire, une tape sur l’épaule, et la promesse de se revoir. Simple, brut, efficace — à la Citebeur.