Un lascar comme on les aime : casquette vissée, regard qui claque, attitude de bad boy et un calibre qui ne demande qu’à briller. C’est Yanis qui aura l’honneur de s’en occuper. Il faut dire qu’il avait déjà repéré le gars à son taf — stagiaire dans une boutique parisienne, il l’a observé assez pour sentir que le feeling passait.
Le message est simple, direct, sans détour :
« Rejoins-moi dans le local, je vais te donner du kif. »
Le bogoss n’a rien contre l’attention d’un mec — bien au contraire. Une fois la porte fermée, l’ambiance devient moite et complice. Yanis se met en position, concentré, et le bad boy se laisse faire, posant ses mains, imposant son rythme. Ça respire la virilité : gestes nets, regards lourds, souffle court.
La suite s’enchaîne naturellement. Le lascar, plus joueur qu’il ne le laisse paraître, mène la danse avec aisance, autant à l’aise avec les filles qu’avec les mecs. Pas si “hétéro” quand le manque se fait sentir — juste un vrai gars qui suit son désir, sans chichi.
Un pur moment Citebeur : discret, brut, chauffé à blanc, dans un local de boutique où tout devient possible. Deux mecs, une tension, zéro blabla.
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