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Mon expérience avec Ali sur une plage naturiste

Je suis un grand blond de 1m90 avec une tige de 22 cm par 5 mais depuis des années j’ai su découvrir la jouissance du trou à l’aide de godes divers et variés.

Dans mes passages aux chiottes pour voir les mecs se branler, j’ai toujours constaté que les arabes étaient bien montés avec en prime de grosses couilles bien juteuses.

Je rêvais de me transformer en vide couilles en position levrette, restait à trouver la bonne occasion.

Cet été, je suis allé me promener sur une plage naturiste et pendant le bain je me suis retrouvé non loin d’un beau brun avec un torse musclé imberbe. Par diverses brasses je me suis approché de mon éventuel destin et arrivé à une dizaine de mètres de ce bel arabe, un premier creux de vague a découvert sa toison sombre qui m’a en une seconde foutu une trique qui n’a pas tardé à sortir des flots à la vue de l’autre.

Comme par enchantement, nous nous sommes retrouvés à 3,4 mètres l’un de l’autre et je compris que j’interressais le mulatre en voyant apparaitre une grosse bite de plus de 20 avec une tige de 5 et un gland plus large.Ce male devait avoir 35 ans et comme à l’accoutumée je pouvais mater ses grosses couilles qu’il avait rasé.

A l’écart, je me risquais un frolement de son mandrin qui était tout dur et son sourir m’invita à lui malaxer les couilles. Je tenais l’occase, et je lui dit qu’il avait une très belle bite et que j’avais envi de la pomper.

Il me rendit le compliment et me dit qu’il n’était pas possible de rester à découvert pour aller plus loin et nous avons décidé de nous retrouver dans les dunes.

Dix minutes plus tard nous étendions nos serviettes sous les sapins et en quelques secondes nous étions à poils. Je sautais sur son chibre que j’avalais au maximum de ma gorge; il me carressait les fesses et découvrir en les écartant mon duvet de blondinet.

Je me ralongeais, et il se mis tête bêche pour me sucer tout en m’enfournant sa bite dans ma bouche; j’étouffais à moitié et respirais ses couilles qui pendaient sur mon blaire; quel bonheur. Je découvris que son rassage était prolongé à sa raie et à son trou dont tous les plis dessinés me révèlaient que ma chance était arrivée; j’étais en présence d’un bon actif au cul puceau.

Pour m’en assurer je dégagais sa bite et lui délivrais une langue au trou du cul, qu’il arrêtat en quelques secondes en venant s’allonger près de moi.

Ses yeux noirs plongés dans mes bleus, je prenais l’initiative en lui demandant si il avait une capote dans son sac.Il me demandat si je voulait qu’il mette une capote, je lui dit oui. Pendant qu’il se préparait je m’allongeais sur le côté les fesses pointées et il se mis contre moi et je sentis son gland contre mon trou humide.D’un coup de rein son gros gland franchit la porte mais ressortit tout de suite.

Je compris que la position n’était pas la meilleure et telle une grosse salope je me mis en levrette avec les jambes bien écartées. D’un mouvement il était derrière moi, mon fantasme était réalité et il me dit: la grosse bite d’Ali arrive dans tes grosses fesses. Après deux, trois claques sur le bas de mes reins je sentis ses mains me maintenir, son gland se positionner et malgré une légère appréhension, mon entraînement au gode fit qu’il me penettra d’un coup et je sentis tout de suite que j’étais bien remplit et que cela allait être divin.

Pendant plusieurs minutes je reçu des va et vient doux avec des morsures dans le dos et je ne tardais pas à trémousser des fesses et en penchant la tête en arrière j’informais Ali que je jouissais du trou. Cela redoublait son excitation et la il décida de me casser le cul à fond; je ne résistais en rien et me décontractais à fond pour recevoir le maximum de son engin qui en quelques secondes rentrait jusqu’à la garde et de plus en plus vite. Ses couilles balottaient et venaient percuter les miennes; en clair je prenais une bonne fessée à coup de ventre et le plaisir ressentit me disait que cela ne serait pas la dernière fois. J’étais exténué et lorsqu’il sentit qu’il allait venir il est ressortit d’un coup sec, enleva sa capote, m’arrosa le dos jusqu’à la nuque et tapota mon trou du cul chatte béant avec son gland.

Nous nous sommes rallongés l’un à côté de l’autre, Ali m’a branlé pour faire sortir mon jus et nous nous sommes quittés.

Voilà, le fantasme n’existe plus, je suis un vrai vide couilles et j’attend la prochaine occasion de croiser un arabe bien chaud pour me ramoner à fond. (vous êtes les meilleurs)

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