Godé par un master arabe

Un lascar algérien bien connu dans le quartier a donné rendez-vous à sa petite soumise dans les caves pour une session bien chaude.

Dès son arrivée, le ton est donné : le rebeu veut rappeler qui commande. Regard intense, gestes fermes, il impose sa présence sans dire un mot. La tension monte vite entre eux, et la gourmand du quartier sait qu’elle est là pour obéir à son maître. L’atmosphère est moite, électrique, et chaque geste devient une provocation silencieuse.

Le lascar la fait se positionner à quatre pattes, juste sous la lumière vacillante du néon. Un sourire en coin, il sort un jouet qu’il garde toujours sur lui, histoire de tester la résistance de sa soumise. Lentement, il le fait glisser le long de son dos, la frôle, la fait frissonner. Les gémissements montent, la tension devient presque insoutenable. C’est une vraie séance de domination comme il les aime : brute, moite et sans chichi.

La scène se poursuit dans un silence troublant, rythmé seulement par leurs respirations. Dans les caves, l’écho de leur jeu résonne. Un pur moment de tension, de contrôle et de lâcher-prise.