Tahar, mâle chaud de Citebeur, est de retour avec son aura d’alpha et son calibre qui fait parler. Cette fois, cap sur Byron, nouveau dans la cité. Regard contre regard, tension directe : le petit nouveau a ce truc qui attire les dominants, et Tahar le capte tout de suite. Ils se calent dans un coin tranquille, posent les règles à voix basse — jeu viril, domination assumée, respect total.
Tahar plaque Byron au mur avec assurance, le chauffe lentement, langue et baisers appuyés, mains qui guident. Le passif confirme d’un “oui” clair, se cambre, offre l’angle parfait. L’alpha prépare, aligne, et s’installe en mode actif, tempo progressif puis plus tendu — le genre de lead que Byron adore, profond et posé, sans jamais perdre l’écoute.
La suite déroule comme une évidence : levrette maîtrisée, face à face, changements de prise millimétrés. Tahar garde la main, joue sur la cadence, cale ses appuis, fait claquer les hanches avec précision. Byron encaisse, respire, s’ouvre, couine de plaisir — on est dans la zone chaude, urbaine, moite, où chaque mouvement compte et fait monter la pression.
Au fil des minutes, la salle devient un four. Les sueurs perlent, les regards s’accrochent ; Byron se laisse emmener, surpris lui-même par la montée. Tahar, décidé, finit fort, deep inside, marquant son gars comme il se doit — pendant que le passif, déjà parti plus haut, retombe avec un sourire au coin des lèvres.
Une parenthèse de quartier comme on les aime : virile, consentie, intense. Tahar repart posé, satisfait ; Byron reste haletant, corps encore vibrant, bien sonné par cette session carrée qui coche toutes les cases.
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je suis gays de la région de segré en Anjou bleu dpt 49 et j’adorerais être baisé par plusieurs rebeu bien membré, j’adore leurs bites