Yo, les keums — nouvelle session Citebeur. Kevin, mignon frenchboy, reçoit un texto de son boss rebeu, Dzfuck. Rendez-vous cash dans un parking du 93. C’est pas pour blabla, t’as capté. Algérien carré, épaules larges, regard qui claque, il sort du chantier avec l’envie de lâcher la pression. Kevin sait très bien à qui il a affaire, et pourquoi il est appelé.
Kevin débarque sans tarder, prêt à servir. Il se cale à genoux, le regard vers son boss, docile et efficace. Le survêt glisse, la vibe est lourde, la présence de Dzfuck s’impose. Kevin s’applique, rythme propre, respiration courte. L’odeur virile remplit le parking — sueur, textile, bitume chaud — ça cogne au crâne et ça fait monter la fièvre. Le rebeu mène la danse, main posée, consignes sèches, aucune perte de temps.
Et tu connais la suite : Kevin frissonne déjà à l’idée de passer au niveau supérieur. Il se tient prêt, corps tendu, nuque offerte, concentré comme un soldat à l’écoute. Dzfuck, lui, c’est le boss du bendo : précis, carré, pas besoin de longs discours. Il enchaîne, garde le contrôle, impose le tempo comme un mec qui sait ce qu’il veut.
La chaleur grimpe, les dos brillent, les muscles tirent. Dzfuck le travaille en rythme, appuis bien plantés, bassin solide. Kevin encaisse, suit, s’aligne. Les souffles deviennent rauques, les gestes se font plus durs, ça claque à chaque mouvement. Le parking vibre, la scène est pleine de sueur, de regards fixes et de tension brute. Final propre : relâchement net, nerfs qui lâchent, corps détendus. Dzfuck repart vidé de la tête, Kevin, lui, tient la posture — dosé, rincé, mais fier d’avoir fait le taf.
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