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Petite frappe domine une lope affirmée

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Stuart adore se faire choyer par les caïds du quartier. Juan en fait partie : beau gosse sous survêt, attitude de patron, et un calibre qui ne laisse personne indifférent. Marié et discret, il garde la cagoule tout du long — anonymat total, juste la présence virile qui s’impose.

Juan s’affale sur le sofa, encore en sket et survêt, quand Stuart vient tester le terrain. Mains qui effleurent, visage qui frotte le paquet : le bulge gonfle à vue d’œil, la tension grimpe, les regards se croisent.

Très vite, la pression devient trop forte pour rester enfermé. La bosse libère son secret et Stuart s’applique, longuement, avec une dévotion qui fait grogner le caïd. Il alterne rythme posé et impulsions plus franches ; la bouche glisse, la langue taquine, et Juan, exigeant, guide sans un mot. Le sale gosse finit par tomber la tenue : place au corps à corps.

Debout, Juan cadre la nuque et mène la danse, sûr de lui. La pièce se remplit de leurs souffles, l’énergie se fait plus brute, plus dense. On sent déjà ce qui va suivre quand le passif passera au niveau supérieur…



Le voyou retourne alors son partenaire, occulte le visage et se concentre sur la cambrure. Doigts posés, préparation lente, souffle chaud au creux des reins ; un peu de salive, quelques allers-retours du bout de la langue : le terrain est prêt, la confiance installée.

L’instant suivant, le gros calibre s’engage, droit et profond. Le passif serre, se détend, puis se cale au rythme du caïd. Les appuis claquent, la cadence s’emballe, la sueur perle — une session virile et maîtrisée qui les emmène au bord. Finalement, Juan marque son partenaire d’une finition nette sur les reins, laissant la peau rouge et chaude, souvenir d’une rencontre brute, masculine et inoubliable.

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