Un rebeu bien docile reçoit chez lui un lascars beur cagoulé. Plan cash, ambiance urbaine et codes posés : l’anonymat est respecté, le calibre aussi. Le passif se donne à fond, prêt à encaisser la présence massive du dominant, le regard accroché, la respiration courte.
Pas de bla-bla : ça démarre direct à genoux. Le jeune arabe sert avec application, gère son souffle pendant que le lascars cagoulé garde la main, tempo régulier, pauses quand il faut. La pièce se remplit d’odeur de sueur et de textile, la fièvre monte proprement.
Ensuite, le beur place son partenaire et passe derrière, lubrifié, geste net. Il avance profond, varie les angles, impose un rythme carré. Le passif se cambre, suit la cadence, yeux humides mais sourire en coin : il kiffe la pression et en redemande.
L’actif accélère, appuis solides, bassin sûr : coups plus courts, puis longues poussées, juste ce qu’il faut pour faire vibrer le bas du dos. Le jeune arabe laisse filer quelques gémissements, la tête contre le mur, totalement dans le moment. Final tendu puis relâché : souffle lourd, corps chauds, plan net et maîtrisé, exactement comme ils l’avaient voulu.
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