David est un passif assumé qui kiffe les gros calibres. Sur Tindr, il croise Fares, un Marocain marié, discret, curieux de plans entre hommes. Ils se donnent rendez-vous dans le parking sous-terrain de l’immeuble — ambiance froide, écho des pas, frisson du risque : plan express et risqué, consentement clair, pas de temps à perdre.
Les salutations à peine lâchées, Fares se met à l’aise. David s’agenouille, s’applique et fait briller le calibre du rebeu, longuement, en rythme, mains posées, souffle court. Il prend le temps, du bout des lèvres jusqu’à la base, avec ce soin qui fait grogner le mâle sûr de lui.
Puis Fares passe derrière. Un peu de salive, une main ferme aux hanches, un regard pour valider — et il s’engage posément, en profondeur mais sans précipitation. David serre, se détend, trouve son souffle ; le rebeu ajuste le tempo, avance, recule, cadence régulière qui fait monter les deux.
Très vite, David en redemande. Il veut le sentir autrement : il guide Fares vers le coffre de la voiture, s’assoit dessus et s’empale avec lenteur, bassin souple, dos cambré. Le passif se dandine sur le calibre du rebeu, yeux dans les yeux, sueur qui perle, parking rempli de leurs souffles.
Fares le retourne pour une fin au plus près, version missionnaire : visages collés, appuis solides, rythme sûr. Quand ça déborde, il se retire et marque la bouche du soumis, qui reçoit tout, avant de lâcher à son tour dans un dernier râle. Deux mecs vidés, complices — un moment court, chaud, impossible à oublier.
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