Ça faisait plusieurs jours que je les voyais en sortant du bureau : deux rebeus en bleu de travail, toujours à la même heure, toujours du côté du chantier. Parfois encore en tenue, parfois déjà changés, jeans-basket, allure de vrais mecs de terrain. Deux beaux gars d’origine marocaine, la trentaine, secs, nerveux, musclés juste comme il faut. Depuis la première fois, j’ai pas pu m’empêcher de les mater discrètement en passant. Apparemment, eux aussi avaient capté le manège, car leurs regards sont vite devenus plus directs, plus provo.
Ce soir-là, l’un d’eux m’attend carrément sur le trottoir. Planté là, les bras croisés, sourire en coin. Quand j’arrive à sa hauteur, il balance :
« Tu montes ? On va te raccompagner. »
Je souris, un peu nerveux, mais j’embarque. À l’arrière de la caisse, l’ambiance est directe, franche, virile. Les mecs sentent la sueur, la cgourmand, le chantier. On roule sans trop parler, juste de la tension, des regards dans le rétro. Après quelques virages, on se gare dans un coin tranquille, au sous-sol d’un immeuble. L’air est chaud, moite, électrique.
Dans le parking, la tension monte
Aziz, celui qui conduisait, me lance un regard appuyé. Il s’approche, s’assoit à côté de moi et passe une main sur ma cuisse. Je frissonne, sans bouger. L’autre, Jamel, rigole doucement :
« T’es tendu, relax… on veut juste s’amuser un peu. »
Et là, tout devient clair. Plus de malaise, juste du désir brut. Je les regarde tous les deux, leur peau dorée par la lumière orange du parking, leurs t-shirts collés à leurs torses musclés. L’atmosphère est lourde de chaleur et de sueur virile. J’acquiesce, prêt à me laisser aller.
Aziz s’approche le premier, son parfum de mec simple et fort m’envahit. Ses mains sont dures, calleuses, comme celles d’un gars qui bosse. Jamel se rapproche à son tour, se cale derrière moi, me caresse le cou. Leurs gestes sont précis, confiants. Je me laisse guider, je sens la tension m’envahir, mon cœur battre à toute vitesse. C’est fort, brut, animal, mais totalement assumé.
Les deux mecs se chauffent à tour de rôle, jouent avec moi, se frôlent, se testent. Les respirations se mélangent, les regards se croisent, ça devient une vraie scène de mecs. La voiture bouge légèrement sous nos mouvements, l’air est saturé de chaleur et de désir.
Quand tout explose
La tension finit par éclater. Les gestes deviennent plus rapides, plus francs. Les gémissements remplissent l’habitacle, les corps se collent, se frottent, se cherchent encore et encore. Aucun mot, juste des souffles, des soupirs, des râles de plaisir. Ils savent ce qu’ils font, ils gèrent, ils dominent la scène sans jamais la rendre violente. C’est du vrai sexe de mecs, sans fioritures, sans tabou.
Quand tout se relâche enfin, on reste là, haletants, rincés, le corps encore chaud. Jamel se marre doucement :
« T’as kiffé hein ? T’es un bon, toi. »
Je souris, sans pouvoir parler. Aziz me tend une bouteille d’eau, l’air tranquille, comme si on sortait d’un match intense. Ils se rhabillent, calmes, fiers. Et moi, encore tremblant, je me dis que je viens de vivre un pur moment de plaisir viril, brut et vrai, comme sur Citebeur.
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Si des rebeu veulent me faire la même
Mon snap lelebiiiii
Jsuis du 88 et j’ai 24 an 😛