Miek sortait sa voiture du parking quand un rebeu bien bâti l’a accroché du regard. Deux pas, un sourire, et la tension est montée d’un coup. Ils échangent quelques mots, se chauffent, posent les règles — discret, rapide, chacun ok — puis s’enfoncent dans un coin à l’abri des regards.
Le lascar prend le lead, Miek accepte le jeu. Mains fermes, souffle lourd, les rôles sont clairs. Le rebeu ouvre le pantalon, Miek s’agenouille de lui-même et s’applique, regard levé, gorge serrée, pendant que le gars du quartier tient la cadence. L’air sent la sueur, les pneus chauds, le béton humide — pure ambiance parking.
Ils changent de position contre la carrosserie : prises maîtrisées, gestes précis, rythme qui s’emballe. Miek se cambre, offre tout, le lascar le maintient par la taille et mène la danse, sans un mot de trop, juste des soupirs rauques et des regards qui en disent long. C’est court, intense, viril — exactement ce qu’ils voulaient.
Quand la pression retombe, ils se recoiffent vite fait, rient encore un peu, et se quittent avec un dernier clin d’œil. Plan express, chaud, propre, chacun repart comblé.
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