Anis le rebeu algérien baise une tepu dans la réserve du magasin

Anis a calé un rendez-vous entre midi et deux dans la réserve du magasin où il taf, avec un plan croisé sur Tinder. Rebeu viril et TTBM, il tient à la discrétion : cagoule en place, il attend son partenaire avec impatience, chargé d’envie.

Quand Marc arrive, il salive déjà devant le corps sec d’Anis, son allure d’étalon et cette bosse qui se réveille à vue d’œil. En quelques gestes, le cadre est posé : Marc s’agenouille, ouvre la bouche, l’Algérien sort calmement son engin et se laisse soigner. Le passif s’applique, précis et volontaire, pendant qu’Anis guide la nuque et pose le tempo. Il prend son temps, lustre le gland circoncis avec de longues succions qui font clairement kiffer le rebeu BM.

Le joli dos du céfran ne tarde pas à entrer en scène. Anis palpe les hanches, caresse les fesses, glisse quelques doigts pour jauger la cambrure et installer la confiance. C’est serré, mais ça répond bien : parfait pour passer au niveau supérieur et ouvrir la voie avec son gros calibre. Pas besoin d’annoncer des centimètres : Marc sait déjà qu’il va s’en souvenir.

La cadence s’installe, ferme et régulière. Le passif gémit, cambré, accroché au bord du plan de travail ; l’Algérien le tient par les hanches, engage le bassin, fait onduler tranquillement jusqu’à trouver le rythme qui fait mouche. La sueur perle, l’air se charge, la réserve devient une bulle moite où deux mâles jouent leur rôle : l’un mène, l’autre s’abandonne.

Quand la pression monte, Anis appuie juste ce qu’il faut. Marc tremble, surpris par l’intensité et par le contrôle du rebeu. La finale claque net, dans un souffle : regards complices, corps vidés, promesse de remettre ça. Il ne savait pas les Algériens aussi bons baiseurs — maintenant, il sait à quoi s’attendre.