Quand la Tunisie rencontre l’Algérie, ça peut chauffer — très “mâle”. Pour ce plan entre maghrébins, Dzfuck mène la danse avec Alaïdin.
Ça faisait un bail que Citebeur n’avait pas livré une vraie rencontre rebeu x rebeu. Moins de gourmands au service d’alphas, plus de duel viril : aujourd’hui, place à deux bonhommes. Alaïdin, 27 ans, quartiers nord de Marseille, beau gosse sûr de lui. Dzfuck, Parisien, attitude de boss. Le deal est clair et consenti : Dzfuck préfère mener, Alaïdin accepte de s’offrir.
Les préliminaires posent le cadre : le Tunisien assoit sa présence, se fait soigner avec application ; la tension monte, les regards s’accrochent, l’ambiance devient électrique.
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Vient le moment de passer aux choses sérieuses. Alaïdin se place, cambré, à quatre pattes. Dzfuck cadre les hanches d’une main, guide de l’autre, humidifie légèrement et s’engage posément. Le gabarit impose le respect ; le passif respire, se détend, et laisse le rythme s’installer, plus franc au fil des secondes.
Quand tout est en place, la cadence se fait plus soutenue. Les changements de positions s’enchaînent — levrette, puis missionnaire — pour une session dense, moite, où chacun trouve son compte. Alaïdin découvre des sensations nouvelles et monte vite en pression.
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La fin arrive dans un souffle : Dzfuck garde le contrôle jusqu’au bout, Alaïdin lâche prise et s’abandonne à l’instant. Une rencontre virile, nette, assumée — exactement l’esprit Citebeur.
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