Chris Llesca se retrouve face à Juan, un hispano-algérien au regard perçant et à la carrure de vrai mâle. Viril, sûr de lui et direct, Juan sait exactement comment s’imposer. Le jeune Chris, lui, n’a plus qu’à suivre le rythme et à satisfaire les envies du lascars domi qui ne lui laisse aucun répit.
Avec son allure de lover et son regard charmeur, Juan pourrait presque passer pour un romantique. Mais une fois en action, c’est une tout autre histoire : c’est un vrai dominateur, intense et sans filtre. Chris va vite comprendre qu’il a affaire à un mec qui ne fait pas semblant, un type qui aime sentir qu’on lui obéit et que tout tourne autour de lui.
Le rebeu se laisse faire, se chauffe, et laisse monter la pression. Chris, lui, s’applique à le rendre dingue : gestes précis, attitude appliquée, tension palpable. L’air devient lourd, les respirations se font plus fortes, et la pièce se transforme en véritable terrain de jeu entre domination et plaisir brut. Juan prend le contrôle, le dirige, l’ajuste, sans jamais perdre son calme ni son autorité naturelle.
Quand il décide que c’est le moment, Juan s’impose totalement. Il le fait bouger, se cambre, s’aligne — tout est dans le regard, le geste, la sueur. Les deux corps se mêlent dans un rythme moite, viril, sans mots superflus. C’est intense, physique, brut comme un plan de mecs de terrain.
Le souffle court, les muscles tendus, Juan termine en beauté. Il domine la scène jusqu’à la dernière seconde, fier et satisfait, pendant que Chris, marqué par l’intensité du moment, savoure le kiff d’avoir tout donné. Une vraie session à la Citebeur — entre domination, sueur et plaisir viril.
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