Sameuf ne voulait pas la sodo, il se venge sur le cul de son voisin !

Dzfuck en a gros sur le cœur : il rêve depuis des mois de tester quelque chose de nouveau avec sa copine, mais elle refuse. Ce rebeu algérien, chaud comme la braise, a ce fantasme qui le hante — sentir la puissance du moment, le contact, la domination pure. Alors, il se tourne vers une autre option… son voisin.

Le mec d’à côté, c’est un jeune au style efféminé, avec un regard doux et un corps fait pour plaire. Un bon petit cul, un sourire timide… parfait pour ce que Dzfuck a en tête. Et en plus, le minet a une bouche à faire perdre la tête.

Il n’a fallu que quelques regards échangés dans l’ascenseur, un léger contact, une tension palpable. En quelques secondes, le courant passe. Le minet invite son voisin chez lui, sans trop réfléchir. L’envie prend le dessus sur la raison.

À peine la porte refermée, le ton est donné. Dzfuck sait qu’il doit repartir avant que sa copine ne s’inquiète, alors pas de temps à perdre. Le jeune, visiblement très excité, s’exécute aussitôt. Il s’approche, sûr de lui, et commence à le chauffer. Ses gestes sont précis, sa bouche joue avec la virilité du rebeu. L’air se charge d’électricité, la pièce sent la sueur et la tension.

Le contact devient plus fort, plus intense. Dzfuck, qui n’était venu que pour un petit plaisir rapide, sent le feu monter. Le minet se laisse guider, les deux respirent fort, pris dans la même transe.

Une domination sans détour

Sur le lit, le jeune Chris se laisse complètement aller. Dzfuck prend le contrôle, l’attrape fermement, le place comme il veut. Les deux corps s’emboîtent dans une énergie brute, rythmée, virile. Le rebeu fait parler sa puissance, sans un mot, juste le souffle lourd et la chaleur du moment. Le passif, lui, s’abandonne complètement, submergé par le plaisir et la tension.

La scène atteint son apogée, les respirations se mêlent, les corps tremblent. Dzfuck finit par se relâcher dans un long gémissement, avant de marquer le visage du jeune d’un geste final plein de domination et de désir. Le minet, le visage ruisselant et le regard flou, reste immobile, encore pris dans l’intensité du moment.

Une production Citebeur qui capture à la perfection la tension entre un hétéro curieux et un jeune soumis prêt à tout. C’est cru, réel, et terriblement excitant — un pur kiff de rue, sans filtre ni artifice.