Jeune rebeu baise un policier

R. passe déposer plainte quand le courant passe avec le flic qui prend sa déposition. Au départ, il vient juste signaler qu’un plan lui a piqué son téléphone… mais les détails croustillants de sa soirée allument clairement l’officier. Les regards s’accrochent, les sourires deviennent explicites : l’envie est là, des deux côtés.

Le jeune rebeu capte le jeu et répond au flirt discret du policier. Une proposition tombe, simple et directe ; R. accepte. Porte close, lumières tamisées : place au plan discret qui ne laisse aucune trace sur le registre.

Le policier ajuste sa tenue, se détend, laisse entrevoir ce qu’il faut. Le rebeu se met à genoux, s’applique, chauffe proprement, technique au top. L’officier se perd un instant, mains posées, souffle court, la tension grimpe d’un cran.

Il rend ensuite la pareille, fait glisser le survêt, s’occupe du lascar avec sérieux. Les deux mecs sont en surchauffe quand le minet beur plaque le flic contre son bureau. D’une main il guide, de l’autre il prépare, histoire que la session anale soit nette, intense et bien calibrée.

Le flic se laisse faire en missionnaire, retient ses soupirs pour ne pas alerter le couloir. Le beur mène la danse, rythme tendu, prises fermes, les hanches claquent juste ce qu’il faut. La session s’allonge, la chaleur monte, et le bureau devient leur terrain de jeu.

Final propre et puissant : le rebeu termine en beauté, l’officier goûte la détente après l’effort, visage marqué par le kiff et sourire satisfait. Un plan de commissariat comme il s’en raconte — discret, viril, carré, et parfaitement assumé.