Yanis a une envie sérieuse de kiff — et quoi de mieux que le petit cul soigné d’un minet algérien pour ça.
On se rappelle de Yanis
quand il se chauffait en cave.
Les deux mecs — majeurs et consentants — se retrouvent, Yanis déjà en place pour se faire servir. On connaît son physique de mâle sculpté, légèrement velu, et surtout son gros calibre qui fait tourner les têtes des passifs.
À genoux, le passif commence à savourer la barre épaisse du TTBM. Il y va crescendo : d’abord tout doux, puis plus franc, plus profond, le regard vissé sur le rebeu pour caler le rythme et la respiration. La tension monte à vue d’œil — ambiance moite, virile, parfaitement assumée.
Le jeune keum se révèle : plus de retenue, il s’applique et cambrent son petit cul pour chauffer encore plus le lascar, qui ne perd rien du spectacle. Quand Yanis sent la limite, il fait signe : temps de passer aux choses sérieuses. Quelques tapotements sur le fessier du JH annoncent la suite, histoire de confirmer que la machine est lancée.
Il s’aligne, entre en contrôle : d’abord posé, puis plus soutenu. Le passif gémit, puis se laisse complètement porter par la cadence. Le rythme devient nerveux, ça respire fort, ça claque, l’énergie est brute et urbaine — pur style Citebeur.
Quand la pression atteint le pic, le petit se remet à genoux, face au gourdin bien gonflé : final crémeux, net et généreux, comme prévu — signature chaude qui dit tout.








