Léo est un passif chanceux : Un beau lascars bien monté pour lui seul

Léo Hélios traîne souvent dans les caves de la cité, à l’affût d’un rebeu viril à contenter. Le spot a la réputation d’être un point cruising de la cité : à force de rencontres consenties et bien rodées, le bouche-à-oreille a fait son effet. Le soir, on murmure qu’un bon plan docile passe par là.

Un rebeu marocain resté anonyme porte un masque — question de discrétion et de réputation. Face à la bouche pulpeuse du blondinet, il chauffe vite ; la tension grimpe, l’envie se solidifie. Léo s’agenouille, s’applique, travaille proprement, rythme maîtrisé, de quoi tirer quelques râles de plaisir au mâle alpha.

Le rebeu veut tenter autre chose : sentir ce que donne un passif sûr de lui. Il demande, Léo valide d’un signe, puis Léo Hélios se place de lui-même, à quatre pattes, cambré juste ce qu’il faut. Un regard, un “ok” soufflé, un peu de préparation, et le jeu peut commencer, net et carré.

Les deux keums ne regrettent rien : Léo se lâche en mode gourmand assumée, et notre actif T.B.M. enchaîne en étalon, tempo soutenu, prises fermes, domination posée. Les respirations se calent, la cadence s’intensifie, l’orgasme pointe — chaud, propre, intense.

Une baise comme on aime : contrastée mais parfaitement raccord. Deux styles, une vraie alchimie, et une scène réussie, signée CiteBeur.