Ça ne vous a peut-être pas échappé : le studio Citebeur pousse toujours plus loin en faisant tourner des rebeus bi ou hétéros. Leur secret pour rester discrets ? La cagoule, évidemment.
Kiff garanti pour le passif qui se fait démonter, et pour l’actif qui peut vivre son délire face caméra sans s’exposer : un deal carré, simple et efficace.
Beaucoup acceptent le trip « pour un coup », et pourtant, il n’est pas rare qu’ils reviennent. Voici ceux qui nous ont le plus fait vibrer. Véritables machines à plaisir, ces hétéros — souvent en couple dans la vraie vie — envoient du lourd. Petit aperçu de ces baiseurs de l’ombre.
Cagoule94 – Hétéro exhib qui fait fantasmer
Il a commencé par une vidéo solo dans une cave, puis a voulu passer la seconde avec des mecs prêts à encaisser son gros calibre. Partout où il passe, il marque les esprits : les passifs savent qu’il faut tenir la cadence.
Il aime particulièrement tourner chez Citebeur : ici, les mecs assument et prennent sans broncher. Avec les meufs, dit-il, « c’est pas le même délire ». Bref, le cadre parfait pour ses envies d’exhib cagoulé.
CagouleBeur – Le pur domi, 100 % actif
Lui, il annonce la couleur : quand il fixe un plan, c’est pour mener, point. Les passifs l’ont surnommé le « Démolisseur de cœurs » — tout est dit. Il préfère les endroits bruts, caves, parkings, murs tagués… Plus on lui oppose de résistance, plus il monte la pression et impose son tempo, avec des prises fermes et des regards qui claquent.
Malto – Initié à la cagoule
La discrétion, il s’en fout presque : il a longtemps tourné visage découvert. Un jour, un passif demande une scène avec deux mecs cagoulés ; Malto joue le jeu… et kiffe. Depuis, le bogoss viril a adopté la cagoule, parfois pour dominer, parfois pour se laisser faire. Sous ses airs de brut, c’est un vrai tendre qui sait donner autant qu’il reçoit.
Kamikase – La star du petit écran
Algérien, passé une fois chez Citebeur, il cultive le mystère. On l’a aperçu dans Complément d’Enquête — flic ou voyou ? Il n’a jamais voulu en dire plus. Même en after, son partenaire n’a rien pu lui tirer. Ce qu’on sait, en revanche, c’est que le mec est un sacré baiseur, à l’aise devant la caméra, et qu’il ne devrait pas tarder à remettre ça.
Anis – Tout en muscle
Parisien d’origine algérienne, 23 ans, corps taillé par le foot et la natation. Un gars puissant, net, efficace. Dans la vraie vie, il est maqué : la cagoule, c’est pour cloisonner, pas pour se cacher. Il ne cherche pas à « déglinguer pour déglinguer » ; il veut surtout se faire des mecs quand l’envie le prend. On vous l’avait présenté en solo dans une cave — depuis, il a confirmé le potentiel.
Walid – Le serial fucker
Lui, c’est le bad boy des cités version cinéma de quartier : il aime les passifs bien soignés, les mots crus chuchotés à l’oreille, et garder la main du début à la fin. Il a déjà tourné pas mal de vidéos et kiffe partager un passif avec un autre actif domi — team effort, fluide, intense, toujours carré.












salem les gars. Moi j’aimerais bien me faire baiser par un de ces mecs. j’ai un petit faible pour YANIS;
EN TOUT CAS JE SUIS CHO ET PARTANT POUR EN DISCUTER AVEC VOUS