Malik est un rebeu algérien respecté dans sa cité, logique : carrure de colosse, regard qui impose, présence de vrai mâle. Quand il veut un plan discret, il appelle Tarek, un beur kabyle au style plus fin, toujours partant pour leur délire. Les deux se retrouvent en scred dans les caves, loin des regards, chacun sachant parfaitement ce qu’il vient chercher.
Pas de blabla : ils se chauffent et passent direct à l’action. Malik mène, Tarek suit — c’est leur code, leur jeu. Le rebeu aime sentir qu’on le respecte, qu’on lui laisse la place du boss. Tarek, lui, adore s’appliquer, faire monter la pression, gérer le rythme avec précision. Les gestes sont francs, les regards brûlants, l’air sent la sueur et la cave humide : ambiance brute, 100 % virile.
Malik savoure chaque seconde, joue avec la tension, cale Tarek comme il veut, pose sa domination sans jamais dépasser la limite. Le jeune kiffe cette énergie : il se cambre, s’offre, se laisse guider. Les deux corps s’alignent, ça respire fort, ça grogne bas, ça vibre de partout. C’est moite, réaliste, sans détour — exactement leur délire.
Le tempo s’accélère. Malik gère le game, Tarek encaisse avec le sourire, en redemande même. Les mouvements deviennent plus appuyés, plus profonds, sans jamais perdre le contrôle. La cave résonne de leurs souffles mêlés, de leurs râles étouffés, jusqu’au point de non-retour.
Pour conclure, Malik décide de marquer le moment à sa manière : il se redresse, le regard fier, et finit en beauté devant le visage lumineux de Tarek, comblé. Deux mecs rincés, le cœur qui tape, le sourire en coin. Plan scred réussi — simple, chaud, viril, comme ils aiment.
