Rakim, le nouveau lascar de l’équipe Citebeur, tombe sur plus costaud que lui en mode gonzo : Caillera XXL.
Le bad boy porte bien son blaze : look de quartier, attitude posée, et surtout un calibre qui fait parler. Rakim aime ça et le montre sans détour. À genoux, il s’applique avec ferveur : bouche experte, langue précise, gestes sûrs — le genre de service qui met tout de suite dans l’ambiance.
De son côté, Caillera XXL profite et explore. Rakim se cambre, offre un angle parfait ; le dominant prépare avec les doigts, tranquillement, en demandant un “ok” à chaque étape. Le corps répond, le souffle s’accélère, la tension monte.
Chaud comme jamais, Caillera lui souffle de se mettre à quatre pattes. Fesses écartées, prise ferme, il s’aligne, glisse lentement et s’installe en rythme. Centimètre après centimètre, Rakim accueille, respire, puis cale le tempo. Quelques mots crus à l’oreille, des mains qui maintiennent : domination assumée, consentie, carrée.
La cadence se fait plus ample ; ils enchaînent les positions, passent du face-à-face à la levrette, puis reviennent en prise serrée. Le bassin claque, les regards s’accrochent, l’énergie reste haute sans jamais perdre le contrôle. Deux styles, une alchimie nette : ça déroule avec une intensité qui remplit tout l’espace.
Final au cordeau : Caillera tient la ligne jusqu’au point de rupture, Rakim suit la vague et lâche à son tour. Souffles courts, peaux en sueur, sourires en coin — parenthèse urbaine, virile, parfaitement menée.
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