Black passif sodomisé par un arabe macho

Ce passif ne sait pas encore ce qui l’attend quand il croise Tahar. L’arabe T.B.M. a un programme carré pour son plan du soir : attitude d’alpha, regard qui claque, il pose les règles et le fait s’agenouiller pour un service propre et appliqué. Le renoi s’exécute, chauffe le gars avec méthode, lèvres et langue en mode respect.

Mais le meilleur est encore à venir. Ceux qui connaissent déjà Tahar savent qu’il ne traîne pas : il mène, point. Quand il passe à l’anal, il s’installe, trouve le bon angle et impose son tempo. Le passif accueille, respire, s’ouvre, et la tension grimpe d’un cran.

Le rythme s’accélère : Tahar cale ses prises, maintient, enfonce avec précision. Le passif suit, cambré, accroché, les reins claquent au bon moment, la pièce se charge de chaleur. À chaque poussée maîtrisée, des soupirs graves répondent ; le duo est calé, fluide, sans fioritures.

Tahar ne lâche rien : endurance de malade, gestes nets, regard vissé. Le passif, lui, prend tout avec envie, porté par la cadence et l’assurance du mâle qui mène la danse. C’est sans doute pour ça que Tahar s’impose comme l’un des favoris du moment : il envoie du vrai, du lourd, sans cinéma.

Scène tournée dans un immeuble abandonné en région parisienne : ambiance brute, néons froids, sueur qui perle — un shoot de virilité qu’on revoit avec autant de plaisir qu’on l’a découvert. Tahar tient son rang de master arabe et signe une session intense, carrée, parfaitement menée.