Jeune touriste sodomisé par un Tunisien dans les chiottes

Voici Momo le blédar ! C’est le blaze qu’il a choisi quand, en 2005, Cadinot est venu tourner son film Nomades en Tunisie. Ce tounsi est vite devenu une figure des films “ethniques” du réalisateur : regard coquin, sourire charmeur, et une confiance en lui qui traverse l’écran. La scène tirée de la saga raconte l’histoire de Gaël, un Frenchy en séjour du côté de Tunis.

Il découvre la ville, la bouffe, les ambiances, et fait des rencontres. Au resto, Momo, pote du fils du patron, le repère direct. Entre eux, les regards parlent. Quand Gaël file aux toilettes, Momo le rejoint, lance la conversation, teste la vibe. Le Frenchy, intrigué et excité, se laisse gentiment guider : portes closes, tension qui grimpe.

Le moment devient intime. Momo se laisse admirer ; l’autre, à genoux, commence doucement, prend confiance, s’applique. Le rebeu apprécie en silence, change de position, s’assoit sur la cuvette pour profiter encore plus de l’attention du minet. C’est chaud, discret, efficace.

Après ces préludes bien menés, Momo attrape le Frenchy par les hanches et le plaque contre le mur, sans brutalité, mais avec cette assurance virile qui le définit. Le rythme s’installe, puissant et maîtrisé — il doit faire vite, la porte peut s’ouvrir à tout moment. Les deux mecs s’abandonnent à l’instant, respirations courtes, regards fixés, sueur et adrénaline.

La cadence s’emballe et la finale arrive en même temps pour les deux. Momo se libère, le minet encaisse avec un sourire coupable. Un essuie-mains, deux regards complices, un petit nettoyage express… puis chacun reprend sa route, sans un mot — avec, en tête, une scène brûlante gravée pour longtemps.