Quand David Valentin échangeait avec un lascar du quartier voisin sur un tchat, il ne s’attendait pas à une alchimie pareille. Juan Florian, son contact, s’était montré très lover en messages — et quand ils ont franchi le cap de la rencontre, l’attirance a parlé tout de suite. Ils posent les règles à voix basse : envie de jeu viril, domination assumée, respect et signaux OK.
Juan entraîne David vers les caves de l’immeuble — ambiance brute, néons froids, tension électrique. David s’agenouille de son plein gré, capte le regard de Juan et commence à le servir, appliqué, concentré. Le lascar maintient le rythme d’une main sûre pendant que David gère la profondeur à son tempo, respirations calées, consentement répété.
La chaleur monte ; Juan le plaque doucement contre le mur, demande un “oui”, obtient un “oui”, ajuste l’angle et passe en mode actif. Le tempo reste progressif, fluide. David souffle, s’ouvre, et le jeu continue, sans précipitation. Pour l’intensité, Juan accélère par paliers, comme dans un rythme soutenu bien maîtrisé, en gardant le contrôle et l’écoute.
Ils changent de place : au sol, Juan relève les jambes de David, qui valide d’un signe de tête. Les prises sont fermes, le bassin cogne au bon moment, les soupirs graves remplissent la cave. David alterne entre lâcher-prise et regard accroché ; Juan pose, mène, rassure, et pousse juste ce qu’il faut pour rester dans la zone de confort intense.
Final en deux temps : Juan enfonce le clou jusqu’au frisson, David suit la montée et explose à son tour. Ils rient, se touchent l’épaule, reprennent leur souffle. Un moment viril, urbain, consenti de bout en bout — exactement le délire qu’ils avaient imaginé sur le tchat.
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