On n’avait pas vu Tahar aussi chaud depuis longtemps. Le mâle alpha de Citebeur retrouve un jeune mec décidé à tout donner, pour une session moite, tenue et ultra virile — le genre qui laisse des traces au réveil.
Transpirant, regard noir et appuis solides, Tahar mène large. Le passif suit la cadence, souffle court, nuque tendue, prêt à encaisser le tempo d’un boss. Ça claque, ça vibre, la pièce s’emplie de sueur et de tension — une vraie vibe de quartier.
Et pourtant, tout a démarré simple : sur une appli, Kevin, le jeune frenchy, flashe sur le profil de Tahar. Quelques messages suffisent, rendez-vous posé dans un coin discret. Le gars arrive, clocke la caméra Citebeur, demande l’anonymat : cagoule, check. Un frôlement, une main posée sur le survêt, et il finit à genoux pour l’honorer. Il sert appliqué, gourmand, pendant que le bogoss arabe laisse filer quelques soupirs.
De plus en plus chaud
La tension monte : salive, frottements, regards durs. Tahar cale le frenchy, lui travaille l’arrière avec envie, puis le place contre le mur pour passer à la vitesse supérieure. Entrée maîtrisée, gestes nets, rythme qui grimpe sans déraper. Le minet s’aligne, se détend, et ça part en grande amplitude.
Le passif se cale sur le gros calibre du rebeu, qui varie les angles et appuie sa domination tranquille. Tahar adore les petits culs serrés : celui-ci le rend fou, et ça se lit dans ses épaules, sa mâchoire, sa façon d’aller chercher plus profond quand l’autre le demande.
La cadence s’emballe, puis redescend juste ce qu’il faut, avant un dernier rush. Final propre : relâchement net, muscles encore chauds, regards accrochés. Le frenchy repart sonné mais heureux — il n’a jamais autant kiffé être tenu par un mâle qui sait exactement ce qu’il fait.
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