Walid, hétéro à la base, aime parfois sortir des sentiers battus. Quand l’envie le prend, il n’hésite pas à se faire un plan entre mecs, juste pour sentir la tension, la chaleur, la peau. Ce qu’il kiffe, c’est quand c’est serré, intense, viril. Comme il le dit lui-même : « Rien de mieux qu’un plan bien tendu pour faire monter la pression. »
Ce soir-là, c’est un jeune lascar bien bâti qui va goûter à son énergie accumulée. Déjà une semaine sans plan, et Walid bouillonne. Les deux se retrouvent dans les caves d’un HLM, ambiance sombre et moite, avec juste quelques néons qui grésillent au-dessus d’eux. Le rebeu baisse son survêt, sûr de lui, pendant que le jeune mec, déjà chaud, se met à genoux, prêt à lui montrer ce qu’il vaut.
Le jeu commence doucement : gestes lents, regards lourds, souffle court. Walid se laisse aller, les mains sur la tête du gars, savourant chaque mouvement. La tension monte vite, les corps s’échauffent, la virilité s’impose dans chaque geste. C’est brut, franc, sans détour — exactement comme il aime.
À bout de nerfs, Walid prend les commandes, plaque le mec contre lui et lui impose son rythme. Le lascar encaisse, gémissant entre force et plaisir. Les coups de reins deviennent plus puissants, les respirations se mêlent, et le silence de la cave se remplit de sons étouffés, moites, chargés de désir. Deux mecs, une scène de rue, un moment cru et électrique signé Citebeur.
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